Le centre-Hélio-marin-de-Perharidy-à-Roscoff

Le Centre hélio-marin de roscoff, Je vous propose de lire son histoire

et ensuite de regarder la vidéo ci-dessous

http://www.dailymotion.com/video/4tJCzZFSl57Fhemz7

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153 commentaires à “Le centre-Hélio-marin-de-Perharidy-à-Roscoff”


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  1. 0 Joël 5 juin 2019 à 1:29

    Bonjour,
    je déterre le sujet et sait on jamais.

    Moi c’est Joël,
    hospitalisé d’avril 85 à avril 86, j’y ai séjourné pour le traitement d’une ostheocondrithe. Dur dur la séparation d’avec la famille, javais 8 ans à mon arrivée. Ce fut très brutal, 2 a trois semaines pour accepter cette séparation. Opéré au bout de 2 mois, tres difficile. Après avoir quitté le service des opérés ça n’a été que des chouettes souvenirs, ça ma fait beaucoup mûrir.
    J’en ai croisé quelques-uns d’entre vous, et je m’adresse tout particulièrement à manu Placet : je me souviens particulière d’un copain de chambre qui s’appelait Manu et dont je ne me souviens pas du nom de famille. Environ 13-14 ans(en 86). Tres passionnés de musique, top 50, de stallone foot et compagnie. Il y avait un autre copain qui s’appelait Amza, Un autre Eric. Une super ambiance.
    Si tu me lis manu je serais heureux davoir de tes nouvelles :) et des autres qui étaient au service Horto petits garçons de 85 à 86.

    Je suis agréablement surpris de voir que je ne suis pas le seul à ressentir celà, nous étions malgré un handicap, tout de même libres là bas nous étions considérés comme des personnes à part entière, et non seulement comme des enfants.

  2. 1 ROUILLARD Michel 4 juin 2019 à 15:49

    P. S. :

    Mes sejours dependaient du service Saint Charles.

  3. 2 Michel ROUILLARD 1 juin 2019 à 13:32

    Ma santé dès 1957.

    Dans le temps, le sort me prévoit de mauvais moments à passer dans la suite de ma vie dirigée par le destin.
    Ma santé n’était pas au top, et des problèmes de rachitisme, des problèmes dorsaux et lombaires et d’insuffisance abdominale me poursuivaient.
    Je passe de multiples examens à l’hôpital des enfants malades de Paris, j’exerce une multitude de séances chez un kinésithérapeute de Beauvais durant une année, pour terminer dans un centre hélio marin durant deux fois une année, sans voir ma famille et mes amis.
    Le centre hélio marin de Roscoof.

    Le trajet vers Roscoff pour le centre hélio marin de la pointe de Pérharidy ne peut s’oublier.
    Parti accompagné d’une assistante sociale et d’une valise en bois comportant un trousseau de vêtements ne m’appartenant pas et venant de l’assistance sociale, de la gare de Saint Omer en Chaussée pour Beauvais, Paris gare du Nord, Roscoff, en train à vapeur, en voyage de nuit, pour terminer le trajet de la gare de Roscoff.
    Le voyage c’est terminé de la gare de Roscoff au centre hélio marin de la pointe de Pérharidy en bus et je me suis retrouvé seul en un seul moment, dans ce centre dirigé par une équipe médicale et des sœurs, comme un peu l’ambiance du film « Les choristes ».
    Comme tout nouveau rentrant, je passerai trois mois isolé, en quarantaine avec quelques autres enfants pour permettre de filtrer correctement le risque de la tuberculose qui existait à cette époque d’après guerre, pour retrouver ensuite les autres camarades en vie moins stricte.
    Durant deux années, je ferai de la gymnastique corrective, tous les matins, et de la formation d’école primaire toutes les après-midi.
    Entre temps, la vie chrétienne fera un long chemin dans mes occupations intermédiaires, en passant par l’enfant de choeur où tous les soirs je servais l’aumônier au salut et aux vêpres du dimanche.
    Le scoutisme me permettra d’oublier la solitude.
    Les jeux, les circuits de recherche de la nature, les chants, les créativités d’objets tels que des croix de scout, des fanions, des calendriers, les prières seront les principales occupations en dehors de l’école et l’éducation physique.

    Dans ce centre, c’était la vie en groupes de vingt cinq jeunes plus ou moins handicapés, comme à la colonie de vacances.

    Le dimanche était moins strict que la semaine au niveau des horaires de lever et nous avions des jeux d’extérieur sur la dune de sable où nous organisions des circuits pour faire des courses avec des billes et nos figurines telles que des coureurs cyclistes, où nous organisions aussi après avoir fabriqué des châteaux forts en sables pour jouer à la guerre de cent ans.

    Notre chambrée était composée de deux rangées de lits et d’une rangée centrale comportant les meubles divisés en casiers personnels où nos vêtements et objets personnels étaient à la vue de tous.

    A une des extrémités, c’était la chambre de Sœur René et à l’autre, c’était la chambre de l’infirmière Marie-Louise.

    Ce centre était constitué de trois bâtiments principaux à trois niveaux pour les enfants malades, d’un bâtiment pour la médecine et la chirurgie, d’un bâtiment pour les Sœurs, d’un bâtiment réfectoire, d’un bâtiment pour les classes scolaires, d’un bâtiment pour les sports et les loisirs internes, d’un bâtiment pour la gymnastique corrective et les kinésithérapeutes, d’un bâtiment pour les services annexes, d’une aumônerie et d’une chapelle.

    Nous étions encadrés par des équipes de plusieurs infirmières et de sœurs ayant l’esprit maternel.
    Les malades valides comme moi aidaient les sœurs et les infirmières à sortir les non valides dans leur chariot afin de leurs permettre de prendre l’air iodé de la région sur les rives bétonnées du bord des plages.
    C’était une réelle expédition tel qu’un voyage scolaire mais sans car.
    Ce même service nous le rendions aux moments des repas et des messes.
    Elles essayaient réellement de remplacer notre Mère lorsque nous manquions d’affection le soir au coucher, lorsque nous étions en état de nausée, lorsque le
    sommeil était dur à venir parce qu’un de nos copains de chambre était en crise de diabète et devait s’injecter de l’insuline et faire une analyse d’urine sur un morceau de sucre.
    Les sœurs nous aidaient à écrire nos lettres à notre famille et lisaient les lettres reçues de notre famille avant de nous les distribuer.
    Elles nous aidaient aussi parfois à comprendre le contenu de nos lettres.
    Lorsque nous recevions un colis alimentaire, des livres, des revues où des jouets, nous les partagions entre copains de chambrée.
    De temps en temps, nous partagions le plaisir de regarder nos quelques photos de famille.
    Toutes les fêtes religieuses de l’année nous occupaient aussi en dehors des soins et de l’école.
    A paques, c’était la recherche et la découverte des gâteries placées par les sœurs et les infirmières judicieusement dans les plafonds et en extérieur dans les genets.
    A la sainte Marie, il fallait décorer toutes les coursives des bâtiments avec des fleurs fraîches de couleur blanche, bleu, jaune et rose.
    A Noël, c’était la préparation de la crèche dans nos chambrées et dans la chapelle.
    Durant cette période de deux ans, j’ai eu la chance d’avoir trois visites :
    Deux de mes parents et une d’un oncle avec mon père.
    La visite ne durait pas très longtemps et se passait dans un local situé à l’entrée de centre hélio.
    Le départ de mes parents était insupportable car il me fallait de nouveau subir
    la solitude du premier jour de l’arrivée au centre.
    Heureusement quelques gâteries me restaient et m’accompagnaient.
    Mon retour au foyer familial fut très contre versé par un changement radical du niveau de vie avant mon départ et après mon retour.
    En effet, la famille avait démmenagé dans un autre hameau appelé Le Belloy dans une maison toute neuve.
    Mais l’ambiance n’était plus celle du Monceaux.
    Des engueulades et des bagarres persistaient dans la salle d’eau entre mes parents.

    Marie Louise.

    Marie-Louise était ma deuxième mère à Roscoff dans mon esprit et à chacun de ses départs en congé pour Paris, c’était la tristesse et j’était jaloux de son fiancé qui lui rendait visite certains dimanches.

    Deux ans après je rentre définitivement au foyer parmi ma famille, bien rétabli au niveau de la santé et prêt à reprendre une vie normale.

    7 ans après, mon infirmière préférée me recherchera et me retrouvera au hameau de Belloy, là où mes parents avaient fait construire une maison neuve durant mon séjour à Roscoff.

    Je la rencontrerai plusieurs fois par la suite, notamment avec ma femme Odile.

  4. 3 ROUILLARD Michel 29 mai 2019 à 21:33

    Très bon souvenirs de mes séjours des années 1957 à 1960.
    J’avait 7 ans au début.
    Soeur Renée, Marie-Louise infirmiere, Melle Bataille maîtresse d’ école , etc …Se sont occupées merveilleusement de nous .
    Que j’aimerait retrouver les copains.
    Marie-Louise m’a recontracté 6 ans plus tard.

  5. 4 ROLLANDO 22 mai 2019 à 12:29

    Bonjour
    Auriez-vous des photos de l’année 1979 période septembre à fin janvier. Je me suis fais opérer de la colonne vertébrale et j’aurais aimé retrouvé des anciennes copines.

  6. 5 Jean Marc AGUILLAUME 1 juin 2018 à 11:23

    Je recherches 2 aides soignantes en 1969 qui s’appelait Michèle ou Michelle et 1974 qui s’appelait Armelle.
    J’ai toujours contact avec le Dr GUYONVARCH.

  7. 6 Jean Marc AGUILLAUME 24 mai 2018 à 15:08

    J’aimerais retrouver Michelle ou Michèle qui était appelée fille de salle à l’époque en 1969 et sa soeur Carmel que j’ai connu en 1974.Que de bons souvenirs surtout avec Soeur MARIE-HELENE.
    Bien d’autre que je voudrais retrouver comme Pascal ZAMENACK, le grand DYLON. il y en a qui sont disparu (décédé)

  8. 7 AGUILLAUME Jean Marc 24 mai 2018 à 14:23

    J’aimerai retrouver une aide-soignante qui s’appelait Michèle ou Michelle en 1969

  9. 8 AGUILLAUME Jean Marc 24 mai 2018 à 14:20

    J’ai de bons souvenirs avec Soeur Marie-Hélène du Service orthopédique garçons à l’époque, en 1969, service St Joseph. Elle nous prenait en phot pour envoyer à nos parents.
    En 1974, l’infirmier Mr KOROLLER ainsi que Evelyne l’infirmière adjointe. J’ai toujours des contacts avec le Dr GUYONVARCH. j’aimerai retrouver des contacts de cette année-là. Tout le monde se rappelle des frères FOULON.

  10. 9 BOILEAU Gabrielle 29 avr 2018 à 22:38

    pour me contacter : gabrielleboileau@orange.fr

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